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Ascension du Seigneur.

Publié le par Paroisse de la Nativité

Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 28,16-20.


Au temps de Pâques, les onze disciples s'en allèrent en Galilée,

à la montagne où Jésus leur avait ordonné de se rendre.
Quand ils le virent, ils se prosternèrent, mais certains eurent des doutes.
Jésus s'approcha d'eux et leur adressa ces paroles :

« Tout pouvoir m'a été donné au ciel et sur la terre.
Allez donc ! De toutes les nations faites des disciples, baptisez-les

au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit ;
et apprenez-leur à garder tous les commandements que je vous ai donnés.

Et moi, je suis avec vous tous les jours jusqu'à la fin du monde.
 

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Premières Communions

Publié le par Paroisse de la Nativité

Premières Communions
Ce dimanche 25 Mai, 13 enfants de la paroisse ont fait leur première communion à l'église Saint André de Chauffailles.
Premières Communions

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Dimanche 25 Mai

Publié le par Paroisse de la Nativité

Dimanche 25 Mai

Sixième dimanche de Pâques

Évangile de Jésus Christ selon saint Jean (14,15-21.)

 

À l'heure où Jésus passait de ce monde à son Père, il disait à ses
disciples :
« Si vous m'aimez, vous resterez fidèles à mes commandements.
Moi, je prierai le Père, et il vous donnera un autre Défenseur qui
sera pour toujours avec vous : l'Esprit de vérité.
L'Esprit de vérité. Le monde est incapable de le recevoir, parce
qu'il ne le voit pas et ne le connaît pas ;  vous, vous le connaissez,
parce qu'il demeure auprès de vous, et qu'il est en vous. Je ne vous
laisserai pas orphelins, je reviens vers vous.
D'ici peu de temps, le monde ne me verra plus, mais vous, vous me
verrez vivant, et vous vivrez aussi.
En ce jour-là, vous reconnaîtrez que je suis en mon Père, que vous
êtes en moi, et moi en vous.
Celui qui a reçu mes commandements et y reste fidèle, c'est celui-là
qui m'aime ; et celui qui m'aime sera aimé de mon Père ; moi aussi
je l'aimerai, et je me manifesterai à lui. »

 

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Dimanche 18 Mai.

Publié le par Paroisse de la Nativité

Dimanche 18 Mai.

Cinquième dimanche de Pâques

Évangile de Jésus Christ selon saint Jean (14, 1-12)

À l’heure où jésus passait de ce monde à son Père, il disait à
ses disciples : « Ne soyez donc pas bouleversés : vous croyez
en Dieu, croyez aussi en moi. Dans la maison de mon Père, beaucoup
peuvent trouver leur demeure ; sinon, est-ce que je vous
aurais dit : “Je pars vous préparer une place” ? Quand je serai allé
vous la préparer, je reviendrai vous prendre avec moi ; et là où je
suis, vous y serez aussi. Pour aller où je m’en vais, vous savez le
chemin. » Thomas lui dit : « Seigneur, nous ne savons même pas
où tu vas ; comment pourrions-nous savoir le chemin ? » Jésus lui
répond : « Moi, je suis le Chemin, la Vérité et la Vie ; personne ne
va vers le Père sans passer par moi. Puisque vous me connaissez,
vous connaîtrez aussi mon Père. Dès maintenant vous le connaissez,
et vous l’avez vu. »
Philippe lui dit : « Seigneur, montre-nous le Père ; cela nous suffit.
» Jésus lui répond : « Il y a si longtemps que je suis avec vous,
et tu ne me connais pas, Philippe ! Celui qui m’a vu a vu le Père.
Comment peux-tu dire : “Montre-nous le Père” ? Tu ne crois donc
pas que je suis dans le Père et que le Père est en moi !
« Les paroles que je vous dis, je ne les dis pas de moi-même ; mais
c’est le Père qui demeure en moi, et qui accomplit ses propres
oeuvres. Croyez ce que je vous dis : je suis dans le Père, et le Père
est en moi ; si vous ne croyez pas ma parole, croyez au moins à
cause des oeuvres. Amen, amen, je vous le dis : celui qui croit
en moi accomplira les mêmes oeuvres que moi. Il en accomplira
même de plus grandes, puisque je pars vers le Père. »

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Mois de Mai - Mois de Marie.

Publié le par Paroisse de la Nativité

Mois de Mai - Mois de Marie.

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Icône - Vierge de tendresse

SOUVENEZ-VOUS, ô très miséricordieuse Vierge Marie,
qu'on n'a jamais entendu dire qu'aucun de ceux qui ont eu
recours à votre protection, imploré votre assistance ou
réclamé votre secours, ait été abandonné.
Animé d'une pareille confiance, je viens vers vous,
ô Vierge de tendresse, ô ma Mère, et ployant sous le poids
de mes péchés, je me prosterne à vos pieds.
O MÈRE DU VERBE INCARNÉ, ne méprisez pas mes prières,
mais écoutez-les favorablement, et daignez les exauce
r.
Ainsi soit-il.

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Dimanche 11 Mai.

Publié le par Paroisse de la Nativité

Dimanche 11 Mai.

Le Bon Pasteur, catacombes de Sainte-Priscille, Rome

Quatrième dimanche de Pâques

 

Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 10,1-10.

 

Jésus parlait ainsi aux pharisiens :
" Amen, amen, je vous le dis : celui qui entre dans la bergerie sans
passer par la porte, mais qui escalade par un autre endroit, celui-là
est un voleur et un bandit.
Celui qui entre par la porte, c'est lui le pasteur, le berger des brebis.
Le portier lui ouvre, et les brebis écoutent sa voix. Ses brebis à lui,
il les appelle chacune par son nom, et il les fait sortir.
Quand il a conduit dehors toutes ses brebis, il marche à leur tête, et
elles le suivent, car elles connaissent sa voix.
Jamais elles ne suivront un inconnu, elles s'enfuiront loin de lui, car
elles ne reconnaissent pas la voix des inconnus. »
Jésus employa cette parabole en s'adressant aux pharisiens, mais
ils ne comprirent pas ce qu'il voulait leur dire.
C'est pourquoi Jésus reprit la parole :
« Amen, amen, je vous le dis : je suis la porte des brebis.
Ceux qui sont intervenus avant moi sont tous des voleurs et des
bandits ; mais les brebis ne les ont pas écoutés.
Moi, je suis la porte. Si quelqu'un entre en passant par moi,
il sera sauvé ; il pourra aller et venir, et il trouvera un pâturage.
Le voleur ne vient que pour voler, égorger et détruire.
Moi je suis venu pour que les hommes aient la vie, pour qu'ils
l'aient en abondance.

 

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Dimanche 04 Mai .

Publié le par Paroisse de la Nativité

Dimanche 04 Mai .

3ème dimanche de Pâques -

Les pèlerins d'Emmaüs - Arcabas.

Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 24,13-35.

 

Le troisième jour après la mort de Jésus, deux disciples faisaient route
vers un village appelé Emmaüs, à deux heures de marche de Jérusalem,
et ils parlaient ensemble de tout ce qui s'était passé.
Or, tandis qu'ils parlaient et discutaient, Jésus lui-même s'approcha, et
 il marchait avec eux.
Mais leurs yeux étaient aveuglés, et ils ne le reconnaissaient pas.
Jésus leur dit : « De quoi causiez-vous donc, tout en marchant ? »
Alors, ils s'arrêtèrent, tout tristes.
L'un des deux, nommé Cléophas, répondit : « Tu es bien le seul de tous
ceux qui étaient à Jérusalem à ignorer les événements de ces jours-ci. »
Il leur dit : « Quels événements ? » Ils lui répondirent : « Ce qui est arrivé
à Jésus de Nazareth : cet homme était un prophète puissant par ses
actes et ses paroles devant Dieu et devant tout le peuple.
Les chefs des prêtres et nos dirigeants l'ont livré, ils l'ont fait condamner
à mort et ils l'ont crucifié.
Et nous qui espérions qu'il serait le libérateur d'Israël ! Avec tout cela,
voici déjà le troisième jour qui passe depuis que c'est arrivé.
A vrai dire, nous avons été bouleversés par quelques femmes de notre
groupe. Elles sont allées au tombeau de très bonne heure, et elles n'ont
pas trouvé son corps ; elles sont même venues nous dire qu'elles avaient
eu une apparition : des anges, qui disaient qu'il est vivant.
Quelques-uns de nos compagnons sont allés au tombeau, et ils ont trouvé
les choses comme les femmes l'avaient dit ; mais lui, ils ne l'ont pas vu. »
Il leur dit alors : « Vous n'avez donc pas compris ! Comme votre cœur
est lent à croire tout ce qu'ont dit les prophètes !
Ne fallait-il pas que le Messie souffrît tout cela pour entrer dans sa gloire ? »
Et, en partant de Moïse et de tous les Prophètes, il leur expliqua, dans
toute l'Écriture, ce qui le concernait.
Quand ils approchèrent du village où ils se rendaient, Jésus fit semblant
d'aller plus loin.
Mais ils s'efforcèrent de le retenir : « Reste avec nous : le soir approche
et déjà le jour baisse. » Il entra donc pour rester avec eux.
Quand il fut à table avec eux, il prit le pain, dit la bénédiction, le rompit
et le leur donna.
Alors leurs yeux s'ouvrirent, et ils le reconnurent, mais il disparut à leurs
regards.
Alors ils se dirent l'un à l'autre : « Notre cœur n'était-il pas brûlant en nous,
tandis qu'il nous parlait sur la route, et qu'il nous faisait comprendre les
Écritures ? »
A l'instant même, ils se levèrent et retournèrent à Jérusalem. Ils y trouvèrent
réunis les onze Apôtres et leurs compagnons, qui leur dirent :
« C'est vrai ! le Seigneur est ressuscité : il est apparu à Simon-Pierre. »
A leur tour, ils racontaient ce qui s'était passé sur la route, et comment
ils l'avaient reconnu quand il avait rompu le pain.

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Dimanche 27 Avril.

Publié le par Paroisse de la Nativité

Dimanche 27 Avril.


Le doute de saint Thomas - Abbaye Saint-Dominique de Silos (vers 1150)


Deuxième dimanche de Pâques - Dimanche de la miséricorde

Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 20,19-31.

 

C'était après la mort de Jésus, le soir du premier jour de la semaine.
Les disciples avaient verrouillé les portes du lieu où ils étaient, car ils
avaient peur des Juifs. Jésus vint, et il était là au milieu d'eux. Il leur dit :
« La paix soit avec vous ! »
Après cette parole, il leur montra ses mains et son côté. Les disciples
furent remplis de joie en voyant le Seigneur.
Jésus leur dit de nouveau : « La paix soit avec vous ! De même que le
Père m'a envoyé, moi aussi, je vous envoie. »
Ayant ainsi parlé, il répandit sur eux son souffle et il leur dit :
« Recevez l'Esprit Saint.
Tout homme à qui vous remettrez ses péchés, ils lui seront remis ; tout
homme à qui vous maintiendrez ses péchés, ils lui seront maintenus. »
Or, l'un des Douze, Thomas (dont le nom signifie : Jumeau) n'était pas
avec eux quand Jésus était venu.
Les autres disciples lui disaient : « Nous avons vu le Seigneur ! » Mais
il leur déclara : « Si je ne vois pas dans ses mains la marque des clous,
si je ne mets pas mon doigt à l'endroit des clous, si je ne mets pas la
main dans son côté, non, je ne croirai pas ! »
Huit jours plus tard, les disciples se trouvaient de nouveau dans la
maison, et Thomas était avec eux. Jésus vient, alors que les portes
étaient verrouillées, et il était là au milieu d'eux. Il dit : « La paix soit
avec vous ! »
Puis il dit à Thomas : « Avance ton doigt ici, et vois mes mains ;
avance ta main, et mets-la dans mon côté : cesse d'être incrédule,
sois croyant. »
Thomas lui dit alors : « Mon Seigneur et mon Dieu ! »
Jésus lui dit : « Parce que tu m'as vu, tu crois. Heureux ceux qui croient
sans avoir vu. »
Il y a encore beaucoup d'autres signes que Jésus a faits en présence
des disciples et qui ne sont pas mis par écrit dans ce livre.
Mais ceux-là y ont été mis afin que vous croyiez que Jésus est le Messie,
le Fils de Dieu, et afin que, par votre foi, vous ayez la vie en son nom.

 

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Dimanche de Pâques

Publié le par Paroisse de la Nativité

Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 20,1-9.

 

Le premier jour de la semaine, Marie Madeleine se rend au tombeau
de grand matin, alors qu'il fait encore sombre. Elle voit que la pierre a
été enlevée du tombeau.
Le matin de Pâques, Marie-Madeleine courut trouver Simon-Pierre et
l'autre disciple, celui que Jésus aimait, et elle leur dit : « On a enlevé
le Seigneur de son tombeau, et nous ne savons pas où on l'a mis. »
Pierre partit donc avec l'autre disciple pour se rendre au tombeau.
Ils couraient tous les deux ensemble, mais l'autre disciple courut plus
vite que Pierre et arriva le premier au tombeau.
En se penchant, il voit que le linceul est resté là ; cependant il n'entre
pas. Simon-Pierre, qui le suivait, arrive à son tour. Il entre dans le
tombeau, et il regarde le linceul resté là, et le linge qui avait recouvert
la tête, non pas posé avec le linceul, mais roulé à part à sa place.
C'est alors qu'entra l'autre disciple, lui qui était arrivé le premier au
tombeau. Il vit, et il crut.
Jusque-là, en effet, les disciples n'avaient pas vu que, d'après l'Écriture,
il fallait que Jésus ressuscite d'entre les morts.

 

Dimanche de Pâques

Alléluia, Jésus est vivant
Ne vois-tu pas le tombeau vide ?
Alléluia … élevons nos chants
Il est ressuscité

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Vendredi Saint

Publié le par Paroisse de la Nativité

Vendredi Saint

O Croix dressée sur le monde .....


Les lectures du jour

La mort de Jésus (Mat 27, 45-56)


A partir de la sixième heure, l'obscurité se fit sur tout le pays,
jusqu'à la neuvième heure. Et vers la neuvième heure Jésus
clama en un grand cri : "Éli, Éli, lema sabachtani", c'est-à-dire:
"Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ?".
Certains de ceux qui se tenaient là dirent en l'entendant:
"Il appelle Élie, celui-ci!".
Et aussitôt l'un d'eux courut prendre une éponge qu'il imbiba
de vinaigre et l'ayant mise au bout d'un roseau, il lui donnait à
boire. Mais les autres lui dirent: " Attends ! que nous voyions
si Élie va venir le sauver !"
Or Jésus, poussant de nouveau un grand cri, rendit l'esprit.
Et voilà que le rideau du Temple se déchira en deux, du haut
en bas; la terre trembla, les rochers se fendirent, les tombeaux
s'ouvrirent et de nombreux corps de saints trépassés ressuscitèrent.
Ils sortirent des tombeaux après sa résurrection, entrèrent dans la
Ville Sainte et se firent voir à bien des gens.
Quant au centurion et aux hommes qui avec lui gardaient Jésus,
à la vue du séisme et de ce qui se passait, ils furent saisis d'une
grande frayeur et dirent: "Vraiment celui-ci était fils de Dieu !"

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Dimanche 13 Avril.

Publié le par Paroisse de la Nativité

Bénédiction des Rameaux/

 

Évangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu 21, 1-11

 

Quelques jours avant la fête de la Pâque, Jésus et ses disciples,
approchant de Jérusalem, arrivèrent à Bethphagé, sur les pentes du
mont des Oliviers. Alors Jésus envoya deux disciples :
« Allez au village qui est en face de vous ; vous trouverez aussitôt une
ânesse attachée et son petit avec elle. Détachez-les et amenez-les-moi.
Et si l'on vous dit quelque chose, vous répondrez : 'Le Seigneur en a
besoin, mais il les renverra aussitôt.' » Cela s'est passé pour accomplir
la parole transmise par le prophète : Dites à la fille de Sion : Voici ton roi
qui vient vers toi, humble, monté sur une ânesse et un petit âne, le petit
d'une bête de somme. Les disciples partirent et firent ce que Jésus leur
avait ordonné.
 Ils amenèrent l'ânesse et son petit, disposèrent sur eux leurs manteaux,
et Jésus s'assit dessus.  Dans la foule, la plupart étendirent leurs manteaux
sur le chemin ; d'autres coupaient des branches aux arbres et en jonchaient
la route. Les foules qui marchaient devant Jésus et celles qui suivaient
criaient : « Hosanna au fils de David ! Béni soit celui qui vient au nom du
Seigneur ! Hosanna au plus haut des cieux ! » Comme Jésus entrait à
Jérusalem, l'agitation gagna toute la ville ; on se demandait : « Qui est
cet homme ? » Et les foules répondaient : « C'est le prophète Jésus, de
Nazareth en Galilée. »

 

Les lectures du jour

Evangile de la Passion du Seigneur

selon saint Matthieu 26,14-75.27,1-66.

 

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Dimanche 6 Avril.

Publié le par Paroisse de la Nativité

Dimanche 6 Avril.

Cinquième dimanche de Carême

Giotto, Résurrection de Lazare, Basilica di San Francesco, basilica inferiore, Assise..

 

 Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 11,1-45.

 

Un homme était tombé malade.
C'était Lazare, de Béthanie, le village de Marie et de sa sœur Marthe.
(Marie est celle qui versa du parfum sur le Seigneur et lui essuya les pieds
avec ses cheveux. Lazare, le malade, était son frère.)
Donc, les deux sœurs envoyèrent dire à Jésus :
« Seigneur, celui que tu aimes est malade. »

En apprenant cela, Jésus dit : « Cette maladie ne conduit pas à la mort,
elle est pour la gloire de Dieu, afin que par elle le Fils de Dieu soit glorifié. »
Jésus aimait Marthe et sa sœur, ainsi que Lazare. Quand il apprit que celui-ci
était malade, il demeura pourtant deux jours à l'endroit où il se trouvait ;
alors seulement il dit aux disciples : « Revenons en Judée. »

Les disciples lui dirent : « Rabbi, tout récemment, les Juifs cherchaient à te
lapider, et tu retournes là-bas ? »
Jésus répondit : « Ne fait-il pas jour pendant douze heures ? Celui qui
marche pendant le jour ne trébuche pas, parce qu'il voit la lumière de
ce monde ; mais celui qui marche pendant la nuit trébuche, parce que
la lumière n'est pas en lui. »
Après ces paroles, il ajouta :
« Lazare, notre ami, s'est endormi ; mais je m'en vais le tirer de ce sommeil. »
Les disciples lui dirent alors : « Seigneur, s'il s'est endormi, il sera sauvé. »
Car ils pensaient que Jésus voulait parler du sommeil, tandis qu'il parlait de
la mort.
Alors il leur dit clairement : « Lazare est mort, et je me réjouis de n'avoir pas
été là, à cause de vous, pour que vous croyiez. Mais allons auprès de lui ! »
Thomas (dont le nom signifie : Jumeau) dit aux autres disciples :
« Allons-y nous aussi, pour mourir avec lui ! »
Quand Jésus arriva, il trouva Lazare au tombeau depuis quatre jours déjà.
Comme Béthanie était tout près de Jérusalem - à une demi-heure de
marche environ - beaucoup de Juifs étaient venus manifester leur sympathie
à Marthe et à Marie, dans leur deuil.
Lorsque Marthe apprit l'arrivée de Jésus, elle partit à sa rencontre, tandis
que Marie restait à la maison.
Marthe dit à Jésus :
« Seigneur, si tu avais été là, mon frère ne serait pas mort.
Mais je sais que, maintenant encore, Dieu t'accordera tout ce que
tu lui demanderas. »
Jésus lui dit : « Ton frère ressuscitera. »
Marthe reprit : « Je sais qu'il ressuscitera au dernier jour, à la résurrection. »
Jésus lui dit : « Moi, je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi,
même s'il meurt, vivra ; et tout homme qui vit et qui croit en moi ne mourra
jamais. Crois-tu cela ? »
Elle répondit : « Oui, Seigneur, tu es le Messie, je le crois ; tu es le Fils de
Dieu, celui qui vient dans le monde. »
Ayant dit cela, elle s'en alla appeler sa sœur Marie, et lui dit tout bas :
« Le Maître est là, il t'appelle. »
Marie, dès qu'elle l'entendit, se leva aussitôt et partit rejoindre Jésus.
Il n'était pas encore entré dans le village ; il se trouvait toujours à l'endroit
où Marthe l'avait rencontré.
Les Juifs qui étaient à la maison avec Marie, et lui manifestaient leur
sympathie, quand ils la virent se lever et sortir si vite, la suivirent, pensant
qu'elle allait au tombeau pour y pleurer.
Elle arriva à l'endroit où se trouvait Jésus ; dès qu'elle le vit, elle se jeta à
ses pieds et lui dit : « Seigneur, si tu avais été là, mon frère ne serait pas
mort. »
Quand il vit qu'elle pleurait, et que les Juifs venus avec elle pleuraient aussi,
Jésus fut bouleversé d'une émotion profonde.
Il demanda : « Où l'avez-vous déposé ? »
Ils lui répondirent : « Viens voir, Seigneur. »
Alors Jésus pleura.
Les Juifs se dirent : « Voyez comme il l'aimait ! »
Mais certains d'entre eux disaient : « Lui qui a ouvert les yeux de l'aveugle,
ne pouvait-il pas empêcher Lazare de mourir ? »
Jésus, repris par l'émotion, arriva au tombeau.
C'était une grotte fermée par une pierre.
Jésus dit : « Enlevez la pierre. »
Marthe, la sœur du mort, lui dit : « Mais, Seigneur, il sent déjà ; voilà quatre
jours qu'il est là. »
Alors Jésus dit à Marthe :
« Ne te l'ai-je pas dit ? Si tu crois, tu verras la gloire de Dieu. »
On enleva donc la pierre. Alors Jésus leva les yeux au ciel et dit :
« Père, je te rends grâce parce que tu m'as exaucé. Je savais bien, moi,
que tu m'exauces toujours ; mais si j'ai parlé, c'est pour cette foule qui est
autour de moi, afin qu'ils croient que tu m'as envoyé. »
Après cela, il cria d'une voix forte : « Lazare, viens dehors ! »
Et le mort sortit, les pieds et les mains attachés, le visage enveloppé
d'un suaire.
Jésus leur dit : « Déliez-le, et laissez-le aller. »
Les nombreux Juifs, qui étaient venus entourer Marie et avaient donc vu
ce que faisait Jésus, crurent en lui.

 

 

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Dimanche 30 Mars

Publié le par Paroisse de la Nativité

Dimanche 30 Mars


Quatrième dimanche de Carême (Laetare)

Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 9,1-41.

 

En sortant du Temple, Jésus vit sur son passage un homme qui était aveugle de naissance.
Ses disciples l'interrogèrent : « Rabbi, pourquoi cet homme est-il né aveugle ? Est-ce lui qui a péché, ou bien ses parents ? »
Jésus répondit : « Ni lui, ni ses parents. Mais l'action de Dieu devait se manifester en lui.
Il nous faut réaliser l'action de celui qui m'a envoyé, pendant qu'il fait encore jour ; déjà la nuit approche, et personne ne pourra plus agir.
Tant que je suis dans le monde, je suis la lumière du monde. »
Cela dit, il cracha sur le sol et, avec la salive, il fit de la boue qu'il appliqua sur les yeux de l'aveugle,
et il lui dit : « Va te laver à la piscine de Siloé » (ce nom signifie : Envoyé). L'aveugle y alla donc, et il se lava ; quand il revint, il voyait.
Ses voisins, et ceux qui étaient habitués à le rencontrer - car il était mendiant - dirent alors : « N'est-ce pas celui qui se tenait là pour mendier ? »
Les uns disaient : « C'est lui. » Les autres disaient : « Pas du tout, c'est quelqu'un qui lui ressemble. » Mais lui affirmait : « C'est bien moi. »
Et on lui demandait : « Alors, comment tes yeux se sont-ils ouverts ? »
Il répondit : « L'homme qu'on appelle Jésus a fait de la boue, il m'en a frotté les yeux et il m'a dit : 'Va te laver à la piscine de Siloé. ' J'y suis donc allé et je me suis lavé ; alors, j'ai vu. »
Ils lui dirent : « Et lui, où est-il ? » Il répondit : « Je ne sais pas. »
On amène aux pharisiens cet homme qui avait été aveugle.
Or, c'était un jour de sabbat que Jésus avait fait de la boue et lui avait ouvert les yeux.
A leur tour, les pharisiens lui demandèrent : « Comment se fait-il que tu voies ? » Il leur répondit : « Il m'a mis de la boue sur les yeux, je me suis lavé, et maintenant je vois. »
Certains pharisiens disaient : « Celui-là ne vient pas de Dieu, puisqu'il n'observe pas le repos du sabbat. » D'autres répliquaient : « Comment un homme pécheur pourrait-il accomplir des signes pareils ? » Ainsi donc ils étaient divisés.
Alors ils s'adressent de nouveau à l'aveugle : « Et toi, que dis-tu de lui, puisqu'il t'a ouvert les yeux ? » Il dit : « C'est un prophète. »
Les Juifs ne voulaient pas croire que cet homme, qui maintenant voyait, avait été aveugle. C'est pourquoi ils convoquèrent ses parents
et leur demandèrent : « Cet homme est bien votre fils, et vous dites qu'il est né aveugle ? Comment se fait-il qu'il voie maintenant ? »
Les parents répondirent : « Nous savons que c'est bien notre fils, et qu'il est né aveugle.
Mais comment peut-il voir à présent, nous ne le savons pas ; et qui lui a ouvert les yeux, nous ne le savons pas non plus. Interrogez-le, il est assez grand pour s'expliquer. »
Ses parents parlaient ainsi parce qu'ils avaient peur des Juifs. En effet, les Juifs s'étaient déjà mis d'accord pour exclure de la synagogue tous ceux qui déclareraient que Jésus est le Messie.
Voilà pourquoi les parents avaient dit : « Il est assez grand, interrogez-le ! »
Pour la seconde fois, les pharisiens convoquèrent l'homme qui avait été aveugle, et ils lui dirent : « Rends gloire à Dieu ! Nous savons, nous, que cet homme est un pécheur. »
Il répondit : « Est-ce un pécheur ? Je n'en sais rien ; mais il y a une chose que je sais : j'étais aveugle, et maintenant je vois. »
Ils lui dirent alors : « Comment a-t-il fait pour t'ouvrir les yeux ? »
Il leur répondit : « Je vous l'ai déjà dit, et vous n'avez pas écouté. Pourquoi voulez-vous m'entendre encore une fois ? Serait-ce que vous aussi vous voulez devenir ses disciples ?
Ils se mirent à l'injurier : « C'est toi qui es son disciple ; nous, c'est de Moïse que nous sommes les disciples.
Moïse, nous savons que Dieu lui a parlé ; quant à celui-là, nous ne savons pas d'où il est.
L'homme leur répondit : « Voilà bien ce qui est étonnant ! Vous ne savez pas d'où il est, et pourtant il m'a ouvert les yeux.
Comme chacun sait, Dieu n'exauce pas les pécheurs, mais si quelqu'un l'honore et fait sa volonté, il l'exauce.
Jamais encore on n'avait entendu dire qu'un homme ait ouvert les yeux à un aveugle de naissance.
Si cet homme-là ne venait pas de Dieu, il ne pourrait rien faire. »
Ils répliquèrent : « Tu es tout entier plongé dans le péché depuis ta naissance, et tu nous fais la leçon ? » Et ils le jetèrent dehors.
Jésus apprit qu'ils l'avaient expulsé. Alors il vint le trouver et lui dit : « Crois-tu au Fils de l'homme ? »
Il répondit : « Et qui est-il, Seigneur, pour que je croie en lui ? »
Jésus lui dit : « Tu le vois, et c'est lui qui te parle. »
Il dit : « Je crois, Seigneur ! », et il se prosterna devant lui.
Jésus dit alors : « Je suis venu en ce monde pour une remise en question : pour que ceux qui ne voient pas puissent voir, et que ceux qui voient deviennent aveugles. »
Des pharisiens qui se trouvaient avec lui entendirent ces paroles et lui dirent : « Serions-nous des aveugles, nous aussi ? »
Jésus leur répondit : « Si vous étiez des aveugles, vous n'auriez pas de péché ; mais du moment que vous dites : 'Nous voyons ! ' votre péché demeure.

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Dimanche 23 Mars.

Publié le par Paroisse de la Nativité

Dimanche 23 Mars.



Troisième

dimanche de Carême

Cathédrale Saint-Maclou de Pontoise. Le Christ et la Samaritaine.
Huile sur toile attribuée à l'entourage de Philippe de Champaigne, XVIIe siècle.

 

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Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 4,5-42.


Jésus arrivait à une ville de Samarie appelée Sykar, près du terrain
que Jacob avait donné à son fils Joseph, et où se trouve le puits de
Jacob. Jésus, fatigué par la route, s'était assis là, au bord du puits.
Il était environ midi.
Arrive une femme de Samarie, qui venait puiser de l'eau. Jésus lui dit :
« Donne-moi à boire. »
( ses disciples étaient partis à la ville pour acheter de quoi manger.)

La Samaritaine lui dit : « Comment ! Toi qui es Juif, tu me demandes
à boire, à moi, une Samaritaine ? » (En effet, les Juifs ne veulent rien
avoir en commun avec les Samaritains.)
Jésus lui répondit : « Si tu savais le don de Dieu, si tu connaissais
celui qui te dit : 'Donne-moi à boire', c'est toi qui lui aurais demandé,
et il t'aurait donné de l'eau vive. »
Elle lui dit : « Seigneur, tu n'as rien pour puiser, et le puits est profond ;
avec quoi prendrais-tu l'eau vive ? Serais-tu plus grand que notre père
Jacob qui nous a donné ce puits, et qui en a bu lui-même, avec ses fils
et ses bêtes ? »
Jésus lui répondit : « Tout homme qui boit de cette eau aura encore soif ;
mais celui qui boira de l'eau que moi je lui donnerai n'aura plus jamais
soif ; et l'eau que je lui donnerai deviendra en lui source jaillissante pour
la vie éternelle. »
La femme lui dit : « Seigneur, donne-la-moi, cette eau : que je n'aie plus
soif, et que je n'aie plus à venir ici pour puiser. »
Jésus lui dit : « Va, appelle ton mari, et reviens. »
La femme répliqua : « Je n'ai pas de mari. » Jésus reprit :

« Tu as raison de dire que tu n'as pas de mari, car tu en as eu cinq, et
celui que tu as maintenant n'est pas ton mari : là, tu dis vrai. »
La femme lui dit : « Seigneur, je le vois, tu es un prophète. Alors, explique
-moi :nos pères ont adoré Dieu sur la montagne qui est là, et vous, les
Juifs, vous dites que le lieu où il faut l'adorer est à Jérusalem. »
Jésus lui dit : « Femme, crois-moi : l'heure vient où vous n'irez plus ni
sur cette montagne ni à Jérusalem pour adorer le Père.
Vous adorez ce que vous ne connaissez pas ; nous adorons, nous, celui
que nous connaissons, car le salut vient des Juifs.
Mais l'heure vient - et c'est maintenant - où les vrais adorateurs adoreront
le Père en esprit et vérité : tels sont les adorateurs que recherche le Père.
Dieu est esprit, et ceux qui l'adorent, c'est en esprit et vérité qu'ils doivent
l'adorer. »
La femme lui dit : « Je sais qu'il vient, le Messie, celui qu'on appelle Christ.
Quand il viendra, c'est lui qui nous fera connaître toutes choses. »
Jésus lui dit : « Moi qui te parle, je le suis. »
Là-dessus, ses disciples arrivèrent ; ils étaient surpris de le voir parler
avec une femme. Pourtant, aucun ne lui dit : « Que demandes-tu ? »
ou : « Pourquoi parles-tu avec elle ? »

La femme, laissant là sa cruche, revint à la ville et dit aux gens :
« Venez voir un homme qui m'a dit tout ce que j'ai fait.
Ne serait-il pas le Messie ? »
Ils sortirent de la ville, et ils se dirigeaient vers Jésus.
Pendant ce temps, les disciples l'appelaient : « Rabbi, viens manger. »
Mais il répondit : « Pour moi, j'ai de quoi manger : c'est une nourriture que
vous ne connaissez pas. »
Les disciples se demandaient : « Quelqu'un lui aurait-il apporté à manger ? »
Jésus leur dit : « Ma nourriture, c'est de faire la volonté de celui qui m'a
envoyé et d'accomplir son œuvre.
Ne dites-vous pas : 'Encore quatre mois et ce sera la moisson' ? Et moi
je vous dis : Levez les yeux et regardez les champs qui se dorent pour la
moisson.

Dès maintenant, le moissonneur reçoit son salaire : il récolte du fruit pour
la vie éternelle, si bien que le semeur se réjouit avec le moissonneur.
Il est bien vrai, le proverbe : 'L'un sème, l'autre moissonne. '
Je vous ai envoyés moissonner là où vous n'avez pas pris de peine,
d'autres ont pris de la peine, et vous, vous profitez de leurs travaux. »
Beaucoup de Samaritains de cette ville crurent en Jésus, à cause des
paroles de la femme qui avait rendu ce témoignage :
« Il m'a dit tout ce que j'ai fait. »
Lorsqu'ils arrivèrent auprès de lui, ils l'invitèrent à demeurer chez eux.
Il y resta deux jours.
Ils furent encore beaucoup plus nombreux à croire à cause de ses propres
paroles, et ils disaient à la femme : « Ce n'est plus à cause de ce que tu
nous as dit que nous croyons maintenant ; nous l'avons entendu par nous-
mêmes, et nous savons que c'est vraiment lui le Sauveur du monde. »

 

 

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Dimanche 16 Mars

Publié le par Paroisse de la Nativité

Dimanche 16 Mars

Deuxième dimanche de Carême

Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 17,1-9.

 

Jésus prend avec lui Pierre, Jacques et Jean son frère, et il les emmène
à l'écart, sur une haute montagne.
Il fut transfiguré devant eux ; son visage devint brillant comme le soleil,
et ses vêtements, blancs comme la lumière.
Voici que leur apparurent Moïse et Élie, qui s'entretenaient avec lui.
Pierre alors prit la parole et dit à Jésus : « Seigneur, il est heureux que
nous soyons ici ! Si tu le veux, je vais dresser ici trois tentes, une pour
toi, une pour Moïse et une pour Élie. »
Il parlait encore, lorsqu'une nuée lumineuse les couvrit de son ombre ;
et, de la nuée, une voix disait : « Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en
qui j'ai mis tout mon amour ; écoutez-le ! »
Entendant cela, les disciples tombèrent la face contre terre et furent
saisis d'une grande frayeur.
Jésus s'approcha, les toucha et leur dit :
« Relevez-vous et n'ayez pas peur ! »
Levant les yeux, ils ne virent plus que lui, Jésus seul.
En descendant de la montagne, Jésus leur donna cet ordre :
« Ne parlez de cette vision à personne, avant que le Fils de l'homme
soit ressuscité d'entre les morts. »

« Ne parlez de cette vision à personne, avant que le Fils de l’homme soit ressuscité d’entre les morts »

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Dimanche 09 Mars 2014

Publié le par Paroisse de la Nativité

Dimanche 09 Mars 2014

Tentation du Christ, psautier enluminé, vers 1222 Copenhague, Detkongelige Bibliotek

Premier dimanche de Carême.

 

Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 4,1-11.


Jésus, après son baptême, fut conduit au désert par l'Esprit pour être
tenté par le démon.
Après avoir jeûné quarante jours et quarante nuits, il eut faim.
Le tentateur s'approcha et lui dit : « Si tu es le Fils de Dieu, ordonne
que ces pierres deviennent des pains. »
Mais Jésus répondit : « Il est écrit : Ce n'est pas seulement de pain que
l'homme doit vivre, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu. »
Alors le démon l'emmène à la ville sainte, à Jérusalem, le place au
sommet du Temple
et lui dit : « Si tu es le Fils de Dieu, jette-toi en bas ; car il est écrit :
Il donnera pour toi des ordres à ses anges, et : Ils te porteront sur leurs
mains, de peur que ton pied ne heurte une pierre. »
Jésus lui déclara : « Il est encore écrit : Tu ne mettras pas à l'épreuve le
Seigneur ton Dieu. »
Le démon l'emmène encore sur une très haute montagne et lui fait voir
tous les royaumes du monde avec leur gloire.
Il lui dit : « Tout cela, je te le donnerai, si tu te prosternes pour m'adorer. »
Alors, Jésus lui dit : « Arrière, Satan ! car il est écrit : C'est devant le
Seigneur ton Dieu que tu te prosterneras, et c'est lui seul que tu
adoreras. »
Alors le démon le quitte. Voici que des anges s'approchèrent de lui,
et ils le servaient.

 

 

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Dimanche 02 Mars

Publié le par Paroisse de la Nativité

Dimanche 02 Mars

huitième dimanche du temps ordinaire

Évangile de Jésus Christ selon saint  Matthieu  6,24-34.

 

Comme les disciples s'étaient rassemblés autour de Jésus, sur la
montagne, il leur disait :
  « Aucun homme ne peut servir deux maîtres : ou bien il détestera
l'un et aimera l'autre, ou bien il s'attachera à l'un et méprisera l'autre.
Vous ne pouvez pas servir à la fois Dieu et l'Argent.
C'est pourquoi je vous dis : Ne vous faites pas tant de souci pour
votre vie, au sujet de la nourriture, ni pour votre corps, au sujet des
vêtements. La vie ne vaut-elle pas plus que la nourriture, et le corps
plus que les vêtements ?

Regardez les oiseaux du ciel : ils ne font ni semailles ni moisson, ils
ne font pas de réserves dans des greniers, et votre Père céleste les
nourrit. Ne valez-vous pas beaucoup plus qu'eux ?
D'ailleurs, qui d'entre vous, à force de souci, peut prolonger tant soit
peu son existence ?
Et au sujet des vêtements, pourquoi se faire tant de souci ? Observez
comment poussent les lis des champs : ils ne travaillent pas, ils ne
filent pas.
Or je vous dis que Salomon lui-même, dans toute sa gloire, n'était
pas habillé comme l'un d'eux.
Si Dieu habille ainsi l'herbe des champs, qui est là aujourd'hui, et qui
demain sera jetée au feu, ne fera-t-il pas bien davantage pour vous,
hommes de peu de foi ?
Ne vous faites donc pas tant de souci ; ne dites pas : 'Qu'allons-nous
manger ? ' ou bien : 'Qu'allons-nous boire ? ' ou encore : 'Avec quoi
nous habiller ? '
Tout cela, les païens le recherchent. Mais votre Père céleste sait que
vous en avez besoin.
Cherchez d'abord son Royaume et sa justice, et tout cela vous sera
donné par-dessus le marché.
Ne vous faites pas tant de souci pour demain : demain se souciera
de lui-même ; à chaque jour suffit sa peine.

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Dimanche 23 Février

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Dimanche 23 Février

Gustave Dore Jésus prêchant sur la montagne

septième dimanche du temps ordinaire


Évangile de Jésus Christ selon saint  Matthieu  5,38-48.

Comme les disciples s'étaient rassemblés autour de Jésus, sur la
montagne, il leur disait :
« Vous avez appris qu'il a été dit : œil pour œil, dent pour dent.
Eh bien moi, je vous dis de ne pas riposter au méchant ;
mais si quelqu'un te gifle sur la joue droite, tends-lui encore l'autre.
Et si quelqu'un veut te faire un procès et prendre ta tunique,
laisse-lui encore ton manteau.
Et si quelqu'un te réquisitionne pour faire mille pas,
fais-en deux mille avec lui.
Donne à qui te demande ; ne te détourne pas de celui qui veut t'emprunter.
Vous avez appris qu'il a été dit :
Tu aimeras ton prochain et tu haïras ton ennemi.

Eh bien moi, je vous dis : Aimez vos ennemis, et priez pour ceux qui
vous persécutent, afin d'être vraiment les fils de votre Père qui est dans les cieux
car il fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, et tomber la pluie
sur les justes et sur les injustes.
Si vous aimez ceux qui vous aiment, quelle récompense aurez-vous ?
Les publicains eux-mêmes n'en font-ils pas autant ?
Et si vous ne saluez que vos frères, que faites-vous d'extraordinaire ?
Les païens eux-mêmes n'en font-ils pas autant
Vous donc, soyez parfaits comme votre Père céleste est parfait.

 

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Dimanche 16 Février

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Dimanche 16 Février

Sixième dimanche du Temps Ordinaire

« Ne pensez pas que je suis venu abolir la Loi ou les Prophètes :

je ne suis pas venu abolir, mais accomplir »

 

Évangile de Jésus Christ selon saint  Matthieu  5,17-37.

 

Comme les disciples s'étaient rassemblés autour de Jésus, sur la
montagne, il leur disait :

« Ne pensez pas que je suis venu abolir la Loi ou les Prophètes :
 je ne suis pas venu abolir, mais accomplir.
Amen, je vous le dis : Avant que le ciel et la terre disparaissent, pas une
lettre, pas un seul petit trait ne disparaîtra de la Loi jusqu'à ce que tout se
réalise. Donc, celui qui rejettera un seul de ces plus petits commandements,
et qui enseignera aux hommes à faire ainsi, sera déclaré le plus petit dans
le Royaume des cieux. Mais celui qui les observera et les enseignera sera
déclaré grand dans le Royaume des cieux.
Je vous le dis en effet : Si votre justice ne surpasse pas celle des scribes
et des pharisiens, vous n'entrerez pas dans le Royaume des cieux.
Vous avez appris qu'il a été dit aux anciens :
Tu ne commettras pas de meurtre, et si quelqu'un commet un meurtre,
il en répondra au tribunal.
Eh bien moi, je vous dis : Tout homme qui se met en colère contre son frère
en répondra au tribunal. Si quelqu'un insulte son frère, il en répondra au
grand conseil. Si quelqu'un maudit son frère, il sera passible de la géhenne
de feu.
Donc, lorsque tu vas présenter ton offrande sur l'autel, si, là, tu te souviens
que ton frère a quelque chose contre toi, laisse ton offrande là, devant
l'autel, va d'abord te réconcilier avec ton frère, et ensuite viens présenter
ton offrande.Accorde-toi vite avec ton adversaire pendant que tu es en
chemin avec lui, pour éviter que ton adversaire ne te livre au juge, le juge
au garde, et qu'on ne te jette en prison.
Amen, je te le dis : tu n'en sortiras pas avant d'avoir payé jusqu'au dernier
sou. Vous avez appris qu'il a été dit : Tu ne commettras pas d'adultère.
Eh bien moi, je vous dis : Tout homme qui regarde une femme et la désire
a déjà commis l'adultère avec elle dans son cœur.
Si ton œil droit entraîne ta chute, arrache-le et jette-le loin de toi : car c'est
ton intérêt de perdre un de tes membres, et que ton corps tout entier ne
soit pas jeté dans la géhenne.
Et si ta main droite entraîne ta chute, coupe-la et jette-la loin de toi : car
c'est ton intérêt de perdre un de tes membres, et que ton corps tout entier
ne s'en aille pas dans la géhenne.
Il a été dit encore : Si quelqu'un renvoie sa femme, qu'il lui donne un acte
de répudiation.
Eh bien moi, je vous dis : Tout homme qui renvoie sa femme, sauf en
cas d'union illégitime, la pousse à l'adultère ; et si quelqu'un épouse une
femme renvoyée, il est adultère.
Vous avez encore appris qu'il a été dit aux anciens : Tu ne feras pas de
faux serments, mais tu t'acquitteras de tes serments envers le Seigneur.
Eh bien moi, je vous dis de ne faire aucun serment, ni par le ciel, car
c'est le trône de Dieu, ni par la terre, car elle est son marchepied, ni par

Jérusalem, car elle est la Cité du grand Roi.
Et tu ne jureras pas non plus sur ta tête, parce que tu ne peux pas rendre
un seul de tes cheveux blanc ou noir.
Quand vous dites 'oui', que ce soit un 'oui', quand vous dites 'non', que ce
soit un 'non'. Tout ce qui est en plus vient du Mauvais.

Source - L'Evangile au Quotidien.

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Dimanche 9 Février

Publié le par Paroisse de la Nativité

Dimanche 9 Février

" Vous êtes la lumière du Monde."

Cinquième dimanche du Temps Ordinaire.

 

Évangile de Jésus Christ selon saint  Matthieu 5,13-16.

 

Comme les disciples s'étaient rassemblés autour de Jésus,
sur la montagne, il leur disait : « Vous êtes le sel de la terre.
Si le sel se dénature, comment redeviendra-t-il du sel ?
Il n'est plus bon à rien : on le jette dehors et les gens le piétinent.
Vous êtes la lumière du monde.
Une ville située sur une montagne ne peut être cachée.
Et l'on n'allume pas une lampe pour la mettre sous le boisseau ;
on la met sur le lampadaire, et elle brille pour tous ceux qui sont
dans la maison.
De même, que votre lumière brille devant les hommes :
alors en voyant ce que vous faites de bien, ils rendront gloire
à votre Père qui est aux cieux.

 

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