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Dimanche de Pâques

Publié le par Paroisse de la Nativité

Regardons-les, ces trois femmes qui se rendent au tombeau dès le lever du soleil ; Marie-Madeleine, Marie, mère de Jacques, et Salomé. Elles ne peuvent se résoudre à croire que tout s'est écroulé avec la mort de celui qu'elles aimaient. La preuve, une force les pousse à se rendre de grand matin au tombeau dès le lever du soleil. Et ce sont elles qui ont la primeur de la joie de la Résurrection. Accueillons la foi de ces femmes comme un exemple pour nous. Comme elles, ne laissons jamais s'éteindre la petite flamme de l'espérance.
 

Marc 16, 1-7
 

Le sabbat terminé, Marie Madeleine, Marie, mère de Jacques, et Salomé achetèrent des parfums pour aller embaumer le corps de Jésus. De grand matin, le premier jour de la semaine, elles se rendent au tombeau dès le lever du soleil. Elles se disaient entre elles : « Qui nous roulera la pierre pour dégager l’entrée du tombeau ? » Levant les yeux, elles s’aperçoivent qu’on a roulé la pierre, qui était pourtant très grande. En entrant dans le tombeau, elles virent, assis à droite, un jeune homme vêtu de blanc. Elles furent saisies de frayeur. Mais il leur dit : « Ne soyez pas effrayées ! Vous cherchez Jésus de Nazareth, le Crucifié ? Il est ressuscité : il n’est pas ici. Voici l’endroit où on l’avait déposé.
Et maintenant, allez dire à ses disciples et à Pierre :
“Il vous précède en Galilée.
Là vous le verrez, comme il vous l’a dit.”

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dimanche 31 mars 2024   

 

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dimanche 24 mars 2024 - Dimanche des Rameaux

Publié le par Paroisse de la Nativité

Jésus se présente comme un roi doux et humble de cœur. C'est notre roi, contemplons-le ! Il n'a rien à voir avec les puissants de ce monde, si souvent autoritaires et imbus d'eux-mêmes. Regardons-le : il ne chevauche pas un fier destrier, c'est sur un âne qu'il est monté ! Et encore, nous dit-on, sur un petit âne. A la suite du prophète Zacharie qui disait : « Ton roi est humble et monté sur un âne », la foule des habitants de Jérusalem reconnaît intuitivement son roi. Reconnaissons-le à notre tour, lui qui incarne si bien la béatitude des doux, ceux qui reçoivent la terre en héritage.
 

Marc 11, 1-10

Lorsqu’ils approchent de Jérusalem, vers Bethphagé et Béthanie, près du mont des Oliviers, Jésus envoie deux de ses disciples et leur dit : « Allez au village qui est en face de vous. Dès que vous y entrerez, vous trouverez un petit âne attaché, sur lequel personne ne s’est encore assis. Détachez-le et amenez-le. Si l’on vous dit : ‘Que faites-vous là ?’, répondez : ‘Le Seigneur en a besoin, mais il vous le renverra aussitôt.’ » Ils partirent, trouvèrent un petit âne attaché près d’une porte, dehors, dans la rue, et ils le détachèrent.
Des gens qui se trouvaient là leur demandaient : « Qu’avez-vous à détacher cet ânon ? » Ils répondirent ce que Jésus leur avait dit, et on les laissa faire.
Ils amenèrent le petit âne à Jésus, le couvrirent de leurs manteaux, et Jésus s’assit dessus. Alors, beaucoup de gens étendirent leurs manteaux sur le chemin, d’autres, des feuillages coupés dans les champs. Ceux qui marchaient devant et ceux qui suivaient criaient : « Hosanna ! Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur ! Béni soit le Règne qui vient, celui de David, notre père. Hosanna au plus haut des cieux !

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- dimanche 17 mars 2024 -

Publié le par Paroisse de la Nativité

L'heure est grave. Jésus marche vers sa Passion et vers sa mort sur la Croix. Entrons dans les sentiments qui furent les siens face à cette perspective d'autant plus terrible qu'il y a consenti et a résolu de ne pas s'y soustraire. Cette heure est aussi celle où Dieu le Père va le faire participer à sa gloire. Adorons la majesté du Roi-serviteur qui donne sa vie pour nous. Adorons la splendeur de celui qui révèle la lumière et fait advenir la vérité.

Evangile selon Saint Jean 12, 20-33
 

En ce temps-là, il y avait quelques Grecs parmi ceux qui étaient montés à Jérusalem pour adorer Dieu pendant la fête de la Pâque. Ils abordèrent Philippe, qui était de Bethsaïde en Galilée, et lui firent cette demande : « Nous voudrions voir Jésus. » Philippe va le dire à André, et tous deux vont le dire à Jésus.
Alors Jésus leur déclare : « L’heure est venue où le Fils de l’homme doit être glorifié. Amen, amen, je vous le dis : si le grain de blé tombé en terre ne meurt pas, il reste seul ; mais s’il meurt, il porte beaucoup de fruit. Qui aime sa vie la perd ; qui s’en détache en ce monde la gardera pour la vie éternelle. Si quelqu’un veut me servir, qu’il me suive ; et là où moi je suis, là aussi sera mon serviteur. Si quelqu’un me sert, mon Père l’honorera. Maintenant mon âme est bouleversée. Que vais-je dire ? “Père, sauve-moi de cette heure” ? – Mais non ! C’est pour cela que je suis parvenu à cette heure-ci ! Père, glorifie ton nom ! » Alors, du ciel vint une voix qui disait : « Je l’ai glorifié et je le glorifierai encore. »
En l’entendant, la foule qui se tenait là disait que c’était un coup de tonnerre. D’autres disaient : « C’est un ange qui lui a parlé. » Mais Jésus leur répondit : « Ce n’est pas pour moi qu’il y a eu cette voix, mais pour vous. Maintenant a lieu le jugement de ce monde ; maintenant le prince de ce monde va être jeté dehors ; et moi, quand j’aurai été élevé de terre, j’attirerai à moi tous les hommes. » Il signifiait par là de quel genre de mort il allait mourir.

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dimanche 10 mars 2024

Publié le par Paroisse de la Nativité

Dieu envoie son Fils pour nous sauver. Au cœur du carême, par des images de la Bible ou des symboles, c'est ce que l'évangile de ce dimanche vient nous révéler. De même que le serpent de bronze fut élevé par Moïse dans le désert pour sauver son peuple, contemplons Jésus, élevé sur la Croix. Et en ce temps de conversion, sachons accueillir la lumière et rejeter les ténèbres.

En ce temps-là, Jésus disait à Nicodème : « De même que le serpent de bronze fut élevé par Moïse dans le désert, ainsi faut-il que le Fils de l’homme soit élevé, afin qu’en lui tout homme qui croit ait la vie éternelle. Car Dieu a tellement aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne se perde pas, mais obtienne la vie éternelle. Car Dieu a envoyé son Fils dans le monde, non pas pour juger le monde, mais pour que, par lui, le monde soit sauvé.
Celui qui croit en lui échappe au Jugement, celui qui ne croit pas est déjà jugé, du fait qu’il n’a pas cru au nom du Fils unique de Dieu. Et le Jugement, le voici : la lumière est venue dans le monde, et les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière, parce que leurs œuvres étaient mauvaises. Celui qui fait le mal déteste la lumière : il ne vient pas à la lumière, de peur que ses œuvres ne soient dénoncées ; mais celui qui fait la vérité vient à la lumière, pour qu’il soit manifeste que ses œuvres ont été accomplies en union avec Dieu. »


4ème dimanche du Carême 

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- dimanche 3 mars 2024

Publié le par Paroisse de la Nativité

Jésus a eu de nombreuses raisons d'être indigné. Mais que des marchands s'installent dans le Temple, il n'a jamais pu s'y faire. Qu'on puisse faire son petit commerce avec Dieu pour s'assurer de ses bonnes faveurs, c'est quelque chose qui le dépasse ! Alors, non seulement il ne se prive pas de le dire mais, de façon énergique, il joint le geste à la parole. Comment ne pas le comprendre ?


Evangile selon saint Jean 2, 13-25

Comme la Pâque juive était proche, Jésus monta à Jérusalem. Dans le Temple, il trouva installés les marchands de bœufs, de brebis et de colombes, et les changeurs. Il fit un fouet avec des cordes, et les chassa tous du Temple, ainsi que les brebis et les bœufs ; il jeta par terre la monnaie des changeurs, renversa leurs comptoirs, et dit aux marchands de colombes : « Enlevez cela d’ici. Cessez de faire de la maison de mon Père une maison de commerce. » Ses disciples se rappelèrent qu’il est écrit : L’amour de ta maison fera mon tourment.
Des Juifs l’interpellèrent : « Quel signe peux-tu nous donner pour agir ainsi ? » Jésus leur répondit : « Détruisez ce sanctuaire, et en trois jours je le relèverai. » Les Juifs lui répliquèrent : « Il a fallu quarante-six ans pour bâtir ce sanctuaire, et toi, en trois jours tu le relèverais ! » Mais lui parlait du sanctuaire de son corps.
Aussi, quand il se réveilla d’entre les morts, ses disciples se rappelèrent qu’il avait dit cela ; ils crurent à l’Écriture et à la parole que Jésus avait dite.
Pendant qu’il était à Jérusalem pour la fête de la Pâque, beaucoup crurent en son nom, à la vue des signes qu’il accomplissait. Jésus, lui, ne se fiait pas à eux, parce qu’il les connaissait tous et n’avait besoin d’aucun témoignage sur l’homme ; lui-même, en effet, connaissait ce qu’il y a dans l’homme. 


3ème dimanche du Carême

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