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Dimanche 02 Octobre.

Publié le par Paroisse de la Nativité

Dimanche 02 Octobre.

Sénevé (moutarde).

Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 17,5-10.

Les Apôtres dirent au Seigneur : « Augmente en nous la foi ! »
Le Seigneur répondit : « Si vous aviez de la foi, gros comme une graine de moutarde,
vous auriez dit à l’arbre que voici : “Déracine-toi et va te planter dans la mer”,
et il vous aurait obéi.
« Lequel d’entre vous, quand son serviteur aura labouré ou gardé les bêtes, lui dira
à son retour des champs : “Viens vite prendre place à table” ?
Ne lui dira-t-il pas plutôt : “Prépare-moi à dîner, mets-toi en tenue pour me servir,
le temps que je mange et boive. Ensuite tu mangeras et boiras à ton tour” ?
Va-t-il être reconnaissant envers ce serviteur d’avoir exécuté ses ordres ?
De même vous aussi, quand vous aurez exécuté tout ce qui vous a été ordonné, dites :
“Nous sommes de simples serviteurs : nous n’avons fait que notre devoir.” »

27e dimanche du Temps Ordinaire.

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Dimanche 25 septembre 2016.

Publié le par Paroisse de la Nativité

26e dimanche du Temps Ordinaire.

Dimanche 25 septembre 2016.

*

Abbaye Saint-Pierre de Moissac, Tarn-et-Garonne.
Parabole du pauvre Lazare et du mauvais riche : Lazare agonisant, dont les ulcères sont léchés par des chiens, gît aux pieds du mauvais riche et de sa femme en train de festoyer.

 

Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 16,19-31.

 

En ce temps-là,  Jésus disait aux pharisiens :
« Il y avait un homme riche, vêtu de pourpre et de lin fin,
qui faisait chaque jour des festins somptueux.
Devant son portail gisait un pauvre nommé Lazare,
qui était couvert d’ulcères.
Il aurait bien voulu se rassasier de ce qui tombait de la table
du riche ; mais les chiens, eux, venaient lécher ses ulcères.
Or le pauvre mourut, et les anges l’emportèrent auprès d’Abraham.
Le riche mourut aussi, et on l’enterra.
Au séjour des morts, il était en proie à la torture ; levant les yeux,
il vit Abraham de loin et Lazare tout près de lui.
Alors il cria : “Père Abraham, prends pitié de moi et envoie Lazare
tremper le bout de son doigt dans l’eau pour me rafraîchir la langue,
car je souffre terriblement dans cette fournaise.
– Mon enfant, répondit Abraham, rappelle-toi : tu as reçu le bonheur
pendant ta vie, et Lazare, le malheur pendant la sienne.
Maintenant, lui, il trouve ici la consolation, et toi, la souffrance.
Et en plus de tout cela, un grand abîme a été établi entre vous et nous,
pour que ceux qui voudraient passer vers vous ne le puissent pas,
et que, de là-bas non plus, on ne traverse pas vers nous.”
Le riche répliqua :
“Eh bien ! père, je te prie d’envoyer Lazare dans la maison de mon père.
En effet, j’ai cinq frères : qu’il leur porte son témoignage, de peur qu’eux
aussi ne viennent dans ce lieu de torture !”
Abraham lui dit : “Ils ont Moïse et les Prophètes : qu’ils les écoutent !
– Non, père Abraham, dit-il, mais si quelqu’un de chez les morts vient
les trouver, ils se convertiront.”
Abraham répondit : “S’ils n’écoutent pas Moïse ni les Prophètes,
quelqu’un pourra bien ressusciter d’entre les morts :
ils ne seront pas convaincus.” »

 

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Dimanche 18 Septembre 2016

Publié le par Paroisse de la Nativité

25e dimanche du Temps Ordinaire

Dimanche 18 Septembre 2016

*****

Pendant la messe du 04 Septembre à Dun.

 

Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 16,1-13.

En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples :
« Un homme riche avait un gérant qui lui fut dénoncé comme dilapidant
ses biens. Il le convoqua et lui dit : “Qu’est-ce que j’apprends à ton sujet ?
Rends-moi les comptes de ta gestion, car tu ne peux plus être mon gérant.”
Le gérant se dit en lui-même : “Que vais-je faire, puisque mon maître me retire
la gestion ? Travailler la terre ? Je n’en ai pas la force. Mendier ? J’aurais honte.
Je sais ce que je vais faire, pour qu’une fois renvoyé de ma gérance, des gens m’accueillent chez eux.”
Il fit alors venir, un par un, ceux qui avaient des dettes envers son maître.
Il demanda au premier : “Combien dois-tu à mon maître ?”
Il répondit : “Cent barils d’huile.” Le gérant lui dit :
“Voici ton reçu ; vite, assieds-toi et écris cinquante.”
Puis il demanda à un autre : “Et toi, combien dois-tu ?”
Il répondit : “Cent sacs de blé.” Le gérant lui dit :
“Voici ton reçu, écris quatre-vingts.”
Le maître fit l’éloge de ce gérant malhonnête car il avait agi avec habileté ;
en effet, les fils de ce monde sont plus habiles entre eux que les fils de la lumière.
Eh bien moi, je vous le dis : Faites-vous des amis avec l’argent malhonnête, afin
que, le jour où il ne sera plus là, ces amis vous accueillent dans les demeures éternelles.
Celui qui est digne de confiance dans la moindre chose est digne de confiance
aussi dans une grande. Celui qui est malhonnête dans la moindre chose est malhonnête aussi dans une grande.
Si donc vous n’avez pas été dignes de confiance pour l’argent malhonnête,
qui vous confiera le bien véritable ?
Et si, pour ce qui est à autrui, vous n’avez pas été dignes de confiance,
ce qui vous revient, qui vous le donnera ?
Aucun domestique ne peut servir deux maîtres :
ou bien il haïra l’un et aimera l’autre,
ou bien il s’attachera à l’un et méprisera l’autre.
Vous ne pouvez pas servir à la fois Dieu et l’argent. »

 

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Dimanche 11 Septembre 2016

Publié le par Paroisse de la Nativité

 

Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 15,1-32.

 

En ce temps-là,  
les publicains et les pécheurs venaient tous à Jésus pour l’écouter.
Les pharisiens et les scribes récriminaient contre lui :
« Cet homme fait bon accueil aux pécheurs, et il mange avec eux ! »
Alors Jésus leur dit cette parabole :

« Si l’un de vous a cent brebis et qu’il en perd une, n’abandonne-t-il
pas les quatre-vingt-dix-neuf autres dans le désert pour aller chercher
celle qui est perdue, jusqu’à ce qu’il la retrouve ?
Quand il l’a retrouvée, il la prend sur ses épaules, tout joyeux, et,
de retour chez lui, il rassemble ses amis et ses voisins pour leur dire:
“Réjouissez-vous avec moi, car j’ai retrouvé ma brebis, celle qui était
perdue !”
Je vous le dis : C’est ainsi qu’il y aura de la joie dans le ciel pour un
seul pécheur qui se convertit, plus que pour quatre-vingt-dix-neuf justes
qui n’ont pas besoin de conversion. »
Ou encore, si une femme a dix pièces d’argent et qu’elle en perd une,
ne va-t-elle pas allumer une lampe, balayer la maison, et chercher avec
soin jusqu’àce qu’elle la retrouve ?
Quand elle l’a retrouvée, elle rassemble ses amies et ses voisines pour
leur dire : “Réjouissez-vous avec moi, car j’ai retrouvé la pièce d’argent
que j’avais perdue !”

Ainsi je vous le dis : Il y a de la joie devant les anges de Dieu pour un
seul pécheur qui se convertit. »
« Un homme avait deux fils.
Le plus jeune dit à son père :
“Père, donne-moi la part de fortune qui me revient.”

Et le père leur partagea ses biens.
Peu de jours après, le plus jeune rassembla tout ce qu’il avait, et partit
pour un pays lointain où il dilapida sa fortune en menant une vie de
désordre. Il avait tout dépensé, quand une grande famine survint dans
ce pays, et il commença à se trouver dans le besoin.
Il alla s’engager auprès d’un habitant de ce pays, qui l’envoya dans ses
champs garder les porcs. Il aurait bien voulu se remplir le ventre avec
les gousses que mangeaient les porcs, mais personne ne lui donnait rien.
Alors il rentra en lui-même et se dit : “Combien d’ouvriers de mon père
ont du pain en abondance, et moi, ici, je meurs de faim !
Je me lèverai, j’irai vers mon père, et je lui dirai : Père, j’ai péché contre
le ciel et envers toi. Je ne suis plus digne d’être appelé ton fils.
Traite-moi comme l’un de tes ouvriers.”
Il se leva et s’en alla vers son père. Comme il était encore loin, son père
l’aperçut et fut saisi de compassion ; il courut se jeter à son cou et le

couvrit de baisers.
Le fils lui dit : “Père, j’ai péché contre le ciel et envers toi. Je ne suis plus
digne d’être appelé ton fils.”
Mais le père dit à ses serviteurs : “Vite, apportez le plus beau vêtement
pour l’habiller, mettez-lui une bague au doigt et des sandales aux pieds,
allez chercher le veau gras, tuez-le, mangeons et festoyons, car mon fils
que voilà était mort, et il est revenu à la vie ;
il était perdu, et il est retrouvé.”

Et ils commencèrent à festoyer.
Or le fils aîné était aux champs. Quand il revint et fut près de la maison,
il entendit la musique et les danses.
Appelant un des serviteurs, il s’informa de ce qui se passait.
Celui-ci répondit : “Ton frère est arrivé, et ton père a tué le veau gras,
parce qu’il a retrouvé ton frère en bonne santé.”
Alors le fils aîné se mit en colère, et il refusait d’entrer.
Son père sortit le supplier.
Mais il répliqua à son père : “Il y a tant d’années que je suis à ton service
sans avoir jamais transgressé tes ordres, et jamais tu ne m’as donné un
chevreau pour festoyer avec mes amis.
Mais, quand ton fils que voilà est revenu après avoir dévoré ton bien avec
des prostituées, tu as fait tuer pour lui le veau gras !”
Le père répondit : “Toi, mon enfant, tu es toujours avec moi, et tout ce
qui est à moi est à toi.

Il fallait festoyer et se réjouir ; car ton frère que voilà était mort,
et il est revenu à la vie ; il était perdu, et il est retrouvé !” »

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Dimanche 4 Septembre 2016

Publié le par Paroisse de la Nativité

Dimanche 4 Septembre 2016

23e dimanche du Temps Ordinaire

Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 14,25-33.

De grandes foules faisaient route avec Jésus ; il se retourna et leur dit :
« Si quelqu’un vient à moi sans me préférer à son père, sa mère,
sa femme, ses enfants, ses frères et sœurs, et même à sa propre vie,
il ne peut pas être mon disciple.
Celui qui ne porte pas sa croix pour marcher à ma suite
ne peut pas être mon disciple.
Quel est celui d’entre vous qui, voulant bâtir une tour, ne commence par
s’asseoir pour calculer la dépense et voir s’il a de quoi aller jusqu’au bout ?
Car, si jamais il pose les fondations et n’est pas capable d’achever,
tous ceux qui le verront vont se moquer de lui :
“Voilà un homme qui a commencé à bâtir et n’a pas été capable d’achever !”
Et quel est le roi qui, partant en guerre contre un autre roi, ne commence
par s’asseoir pour voir s’il peut, avec dix mille hommes, affronter l’autre
qui marche contre lui avec vingt mille ?
S’il ne le peut pas, il envoie, pendant que l’autre est encore loin,
une délégation pour demander les conditions de paix.
Ainsi donc, celui d’entre vous qui ne renonce pas à tout ce qui lui appartient
ne peut pas être mon disciple.

 

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